Une jeune journaliste décide d'aller enquêter sur le sujet de la vache
folle. Elle part au fin fond de la campagne française où parait-il, un vieux
fermier a trouvé l'origine de cette maladie.
- Bonjour monsieur.
- Bonjour ma p'tite dame.
- Alors ? Il parait que vous savez pourquoi les vaches attrapent cette
terrible maladie ?
- Vous n'êtes pas sans savoir, madame, que l'on ne présente qu'une fois dans
l'année le taureau aux vaches.
- Oui, je sais... Mais je ne vois pas en quoi cela peut m'aider ?
- Vous n'êtes pas sans savoir que l'on trait les vaches deux fois par jour.
- Effectivement mais je ne comprends toujours pas...
- Et si on vous pelotait les seins deux fois par jour et qu'on vous sautait
qu'une fois par an, vous ne deviendriez pas folle ?
Une femme reçoit souvent son amant pendant que son mari est au travail.
Un jour, son fils de 8 ans se cache dans l'armoire pour voir ce que sa
mère fait avec cet homme-là. Un moment plus tard, le mari rentre à
l'improviste.
Paniquée, la femme cache son amant, dans la même armoire.
- le fils : fait sombre ici.
- l'amant : ouais c'est vrai
- le fils : j'ai un ballon de foot
- l'homme : content pour toi
- le fils : tu veux l'acheter ?
- l'homme : non merci
- le fils : mon père est là dehors
- l'homme : ok, combien
- le fils : 250 euros
Quelques jours plus tard, le fils se retrouve à nouveau dans l'armoire en
compagnie de l'amant de sa mère.
- le fils : fait sombre ici
- l'homme : ouais c'est vrai
- le fils : j'ai des super baskets
- l'homme se rappelant la dernière fois grimace : combien ?
- le fils : 500 euros
Quelques jours plus tard, le père dit à son fils : mets tes baskets et
prends ton ballon, on va faire une partie.
- le fils : je peux pas, j'ai tout vendu
- le père : pour combien
- le fils : 750 euros
- le père : c'est inadmissible d'arnaquer les gens comme ça.
Ces affaires n'ont jamais coûté ce prix là. Je t'amène à l'église pour te confesser.
Le père amène son fils à l'église, le pousse dans le confessionnal et ferme la porte.
- le fils : fait sombre ici
- le curé : merde, maintenant t'arrête tes conneries !